Saint-Maurice-Navacelles

St maurice adm

D’une très grande superficie, le territoire est surtout caractérisé par un habitat particulier où les habitants se répartissent en 3 villages, 6 hameaux et 11 écarts.

Navacelles est situé au fond des gorges de la Vis. A cet endroit, la vallée s’élargit pour former un canyon naturel  immense. Navacelles est, l’été, un havre de fraîcheur avec la rivière et sa cascade.
Le hameau de Navacelles a été ajouté à Saint-Maurice en 1938.

Saint-Maurice, sur la route allant de Lodève à Ganges, est le dernier village du plateau avant la descente dans les Gorges de la Vis ou dans le Cirque de Navacelles. Groupé autour du château des Seigneurs de Montcalm, les maisons en général à deux étages sont les témoins d’un passé florissant lié à l’agropastoralisme. Haut lieu de l’agriculture et du pastoralisme jusqu’en 1939, la commune était aussi connue pour la fabrication de boules cloutées, à partir des racines du buis, pour le célèbre jeu La lyonnaise.

Madières,  petit village situé dans la vallée de la Vis, à cheval sur les départements de l'Hérault et du Gard, ce qui lui vaut d'appartenir à deux départements et communes différents.
Le nom du village vient probablement du latin Materias (matériaux) et désigne probablement un lieu très boisé à l'époque romaine, le village s'est construit au franchissement de la Vis par la voie romaine secondaire reliant Le Vigan à Lodève, il est probable que les premiers moulins à eau aient été introduits à cette époque.
Au VIIème siècle, la rivière qui traverse le village marque la frontière entre les royaumes Wisigoths et Francs.
Les premières citations, conservées à l'abbaye de Gellone, remontent au IXème siècle où  Materias  devient Villa Madierii. Le village possède à cette époque au moins deux moulins (dont le meilleur est propriété du seigneur).
Le village au bord de la rivière côté Hérault est fortifié, il reste trois tours (une est très visible, les autres intégrées dans des maisons plus récentes) une partie du chemin de ronde est encore utilisée et mène aux piles de l'ancien pont romain.
La partie gardoise du village se développe alors (sans fortifications visibles) sous le château.
Les guerres de religion n'épargnent pas le village, situé au contact des zones catholiques et protestantes, et le laissent pratiquement ruiné.
En 1678, un nouveau pont monumental et très hors crues est construit, en aval du pont romain disparu. La construction de ce pont à 20m au-dessus de l'eau répond très probablement à un objectif militaire en garantissant l'accès des troupes royales aux Cévennes protestantes toutes proches (et mal soumises depuis la paix d'Alès en 1629).
Aux XVIIIème et  XIXème siècle, l'élevage du ver à soie devient une activité importante pour le village qui reste un lieu de passage fréquenté, dont témoigne la présence de plusieurs auberges. Les cultures de l'olivier et de la vigne ainsi que de nombreux potagers en bordure de la Vis, complètent la culture des céréales, les flancs de la vallée sont cultivés en terrasses jusqu'aux falaises des causses, la végétation, aujourd'hui omniprésente, est à l'époque rare et le bois très recherché.
En 1830 un troisième moulin à blé vient s'ajouter aux deux moulins à blé et au moulin à huile préexistants.
Au début du XXème siècle, une centrale hydroélectrique est construite à la sortie du village, elle est toujours en service.

Drapeau francais fond blancHistoire

Les hommes ont été présents sur le territoire dès le Mésolithique (voir « Echelle des Temps »).
A l’âge de pierre des tribus colonisent le causse.
Au Néolithique,  de nombreux vestiges retrouvés sur la commune (silex, traces d’habitats) ainsi que  les grottes des bords des gorges de la Vis témoignent de la vie de l’homme. Certaines failles de rochers servaient de sépulture, avant les dolmens, comme au lieu-dit las fovias. Le territoire semble, à cette époque, assez peuplé. La transhumance se pratique déjà et se créent les drailles (pistes que suivent encore les troupeaux d’ovins à l’estive).
Du Chalcolithique , on retrouve des menhirs et des dolmens notamment dans la plaine du Coulet, à Soulagets. Le dolmen de la Prunarède est répertorié mais il reste encore de nombreux dolmens ruinés à la Baume Auriol, au Viala, au Rancas, au Mas de Gay, aux Besses, etc…  Les outils trouvés lors de fouille témoignent d’une civilisation de pasteurs et de cultivateurs, activités dont la pérennité s’est inscrite dans le temps.
De – 2000 à – 500 avant J.-C.  se forment des villages préhistoriques. Un des plus caractéristiques est celui des Ongles  situé entre la ferme de la Prunarède et la Baume Auriol, à proximité d’une grotte refuge. Ces dernières dénoncent les premières invasions celtiques du premier âge du fer comme les tombes du  camp de las armas  (armas=âme en vieil occitan). De nombreux tumulus renferment des corps inhumés dans des caissons de pierres plates et des objets de bronze et de fer. Des petits oppida (ou cap-barrés) sont aménagés où les habitants se réfugient  tels l’éperon-barré dominant les gorges de la Vis.
(Sources : « Féerie d’une terre pauvre Georgette Milhau »  et « Les Mégalithes du Lodévois, tome IV de G.B. Arnal, P.M. Bertrand, G. Mareau, éd. La charte du Lodévois-Larzac).
Au milieu du premier siècle avant J.-C. a lieu la conquête romaine sur les territoires de la Gaule méridionale. De nombreux vestiges en témoignent (pièces, tessons de poteries, tuiles romaines, sont encore fréquemment rencontrés dans les champs lors des labours). Les voies romaines, les  camins ferrats  traversent la commune. On trouve aussi des vestiges de constructions solides (l’aire à battre le grain de la ferme de la Barre par exemple). Les romains ont traversé le territoire en y implantant quelques villas.
Les invasions barbares ont lieu dès le début de notre ère et n’ont pas épargné la contrée. Les Wisigoths laissent des traces : découverte en 1964 sur le chemin de Saint Maurice aux Besses et aux Coucelles d’une tombe de guerriers porteurs d’ornements caractéristiques des peuples des steppes. Ces peuples règnent sur la Septimanie jusqu’au VIème siècle.
L’invasion franque est confirmée par une lance franque trouvée à Navacelles.
Les descendants de Clovis ont administré l’évêché d’Arisisum, Pagus Arisentis, dernière avancée de leur conquête sur les Wisigoths. Le territoire des Volques  de la Gaule indépendante s’intègre successivement dans la civitas lutevensis  de l’époque romaine, dans le Pagus lutevensis  de l’époque barbare et dans le diocèse religieux  de Lodève.
Aux côtés de l’évêché d’Arisitum qui comprend Navacelles et Madières apparaît dès le Vème siècle celui de Lodève.
Les invasions sarrasines du début du VIIIème siècle semblent avoir peu touché le territoire.
Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Fontenille-de-Vis.

Le château de Madières

Construit en hauteur, il contrôle l’accès au Larzac, par l’ancienne voie romaine qui traverse son enceinte.
Il est mentionné pour la première fois dans les archives sous le règne de Philippe-Auguste en 1181.
Les seigneurs de Madières  sont alors des vassaux des comtes évêques de Lodève et le restent jusqu'en 1217 date à laquelle le château féodal est détruit, en pleine croisade des albigeois, par des troupes venues de Montpellier. Il est à l’abandon depuis, on distingue encore le donjon avec sa chapelle Santa Maria de la Peira, et l'enceinte très dégradée avec plusieurs tours.
Au XIVème siècle, un nouveau château est construit sur l'autre rive (côté Gard) et est remanié au XVIème siècle à la fin de la Renaissance. Aujourd’hui, reconverti en chambres d’hôtes,j  « Le Château Zen » est classé aux Monuments Historiques et au Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 2011.
C’est un vaste quadrilatère constitué de trois ailes en « V », refermé par un mur fortifié dans lequel s’ouvre un monumental portail d’entrée. La terrasse, qui donne sur la Salle des Gardes à la spectaculaire cheminée classée, repose sur une galerie voutée. Du balcon surplombant la vallée se déroule un paysage d’une beauté féérique où coule la Vis. Le parc de 4 hectares est composé de végétaux méditerranéens aux essences multiples, d’une importante variété de fleurs et de massifs, d’herbes généreuses et de feuillages verdoyants.

Le château de Saint-Maurice

Il est bâti au XIIIème siècle, le premier château est mentionné en 1280. Aujourd’hui, ils subsistent la base du donjon carré et certaines parties des substructures du XIVème siècle.
Le château actuel est reconstruit au XVIIème siècle sur l'emplacement de l'ancien château.
En 1753, la demeure appartient à Antoine de Barbeyrac qui devient marquis de Saint-Maurice à cette date.
Il est transformé  au début du XIXème siècle et est actuellement propriété privée.

Le château de la Prunarède

Au cœur du domaine se dresse une belle construction désignée, à partir de 1222, sous le nom de Prunareta. Le mas primitif, fortifié à la fin du XVème siècle par la famille Peyran, devient la demeure du Seigneur de la Prunarède.
Au XVIIème siècle, le mas se présente comme un château avec trois tours et appartient  finalement à la famille Montcalm de Saint-Maurice.
Aujourd’hui, l’ensemble bâti est constitué de plusieurs corps de bâtiments construits à diverses époques, les parties les plus anciennes remontant à la période médiévale. Le corps de logis principal, élevé de 2 et 3 niveaux sur des citernes voûtées, offre au Nord une façade aveugle flanquée de deux tours de défense. L’aile Ouest est dotée d’une tour de défense.  Contre le mur aveugle, de vastes bergeries ont été construites sur deux niveaux, les parties basses sont voûtées en berceau. A l’extérieur,  une belle cour au pied du corps de logis principal, une très vaste aire de dépiquage et un ensemble de dépendances avec four, porcheries, clapiers…
L’ensemble du corps de logis n’est plus utilisé depuis le milieu du XXème siècle. Les bergeries et la grange la plus récente, sont encore utilisées par un éleveur qui y abrite un troupeau de moutons.

Les seigneurs et gens de noblesse

A partir de 1250 une famille féodale s'installe au château de Madières, les de Ginestous, cités lors de la croisade des albigeois comme des vassaux mineurs des comtes Bermont d'Anduze.  Cette famille reste dominante jusqu'à la Révolution Française et perdure jusqu'au début du XXème siècle.
A Saint-Maurice, les familles de Barbeyrac puis de Montcalm occupent le château.

Chroniques communales

Le Cirque de Navacelles

Au fond des gorges, la Vis dessine de nombreuses boucles ou méandres. L'eau s'y écoule avec une vitesse inégalable et creuse plus vite dans les parties concaves. Les méandres deviennent de plus en plus serrés : la rivière peut recouper la base de la boucle ou pédoncule et abandonner son ancien tracé. Le dernier méandre à Navacelles constitue le Cirque de Navacelles, la Vis y coulait à l'emplacement des terres cultivées qui entourent la bosse calcaire contre laquelle s'adosse le village. Exhaussée par l'accumulation des dépôts calcaires, la Vis a débordé le pédoncule de son méandre il y a seulement quelques milliers d'années et cascade maintenant en contrebas.
Le Cirque de Navacelles constitue un exemple spectaculaire du méandre abandonné, encaissé de 300m dans le causse de Blandas. La localisation du village, sa forme, son architecture contribuent à rendre ce site prestigieux. Cette merveille écologique et géologique, niché au cœur du périmètre Causses et Cévennes, récemment inscrit au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’UNESCO, est le témoignage éclatant d’une longue histoire géologique et du puissant travail de l’eau au milieu des vastes plateaux calcaires du Sud du Massif Central.
Le Cirque de Navacelles offre un panorama spectaculaire et abrite une faune et une flore, rares et exceptionnelles.

La Vis

Rivière affluente à l’Hérault, longue de 30 kms a creusé son lit au milieu des impressionnants plateaux calcaires des Causses. L’eau de pluie s’infiltre à travers cette roche particulièrement perméable, creusant tout un réseau de galeries souterraines. La Vis est le fruit de cette lente infiltration. Elle forme de majestueux méandres bordés par une végétation luxuriante. La rivière, même en plein été, semble toujours assez fraîche.

Personnages liés à la commune

Guillermo du larzac 1Georgette Milhau 1923/2014,  est originaire de Saint-Maurice-Navacelles,  où son père était maître d’école. La vénération portée à la splendeur des lieux de son enfance la conduise à devenir auteur régional. Elle évoque Navacelles  en 1955, le Larzac méridional dans la Féérie d’une terre pauvre en 1969, et le passage des « routiers » au XVème siècle dans Guillermo du Larzac, son premier roman historique pour enfant, en 1994.

Paul dardePaul Dardé 1888/1963 (photo ci-contre, voir page sur Lodève où il est décédé), sculpteur entre autres du monument aux morts. En 1936, il se retire à Saint-Maurice-Navacelles où il entreprend la construction d’un atelier qui domine le village. Il le laissera inachevé.
Aujourd’hui ce bâtiment, résidence-atelier d’artistes, est  inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques.

Robert duclasRobert Duclas,  auteur d’une thèse sur la littérature mexicaine, a longtemps vécu au Mexique. A Guadalajara d’abord où il a fondé le Lycée franco-mexicain tout en donnant des cours à l’Université et à l’Alliance Française ; à Mexico ensuite où il a été enseignant au Lycée français et à l’Université nationale.

Jean-Claude Gaignard, peintre et éleveur de Saint-Maurice-Navacelles.

Joëlle Jourdan, artiste photographe de l’association Art et Nature.

Patrimoine

Le château de Saint-Maurice (voir § Histoire), le château de Madières (voir § Histoire), le château de la Prunarède (voir § Histoire), le Cirque de Navacelles (voir § Chroniques communales), la Maison de Paul Dardé (voir § Personnages liés à la commune).

Le Monument aux morts sculpté par Paul Dardé en 1925.

La Glacière, puits dans lequel on stockait la neige et la glace l'hiver pour l'utiliser l'été.

Les ruines de la chapelle Notre-Dame de Navacelles,  édifiée en 1286, situées dans le cimetière. La nouvelle église de Navacelles est édifiée en 1874, elle abrite une cloche ouvragée de 1768.

La Gleisa Vielha, église pré-romane à cœur plat de Madières du Xème siècle renfermaient des fresques présentant des chevaliers en tournoi (aujourd'hui perdues). Elle reste en service jusqu'au XIXème siècle, c'est le seul bâtiment encore couvert de lauzes.

L’église paroissiale Saint-Fulcran, du Coulet, date du XVIIème siècle et possède un clocher-mur, elle est classée au Patrimoine de France.

L’église paroissiale et l’ancien presbytère de La Clastre, datent du XVIIème siècle et sont classés au Patrimoine de France.

De nombreux mégalithes : dolmens et menhirs, dont le dolmen de la Prunarède.

Plus de 1000 avens ou grottes et de nombreuses lavognes.

Evolution de la population

Saint maurice navacelles demo

Villages, hameaux et  écarts

Trois villages : Navacelles, Madières  et Saint-Maurice…

Six hameaux à l’extérieur des villages (groupement de quelques maisons, granges, bergeries) :
Les Natges, petit coin du bout du monde empreint de tranquillité, bien connu des randonneurs qui parcourent les drailles plus particulièrement vers Saint-Guilhem-le-Désert.
Le Mas de Gay
dont la ferme du XVIIème siècle est classé au Patrimoine de France.
Les Besses, dont les trois fermes datent des XVIIIème et XIXème siècles.
La Clastre, Le Coulet et Soulagets.

Et onze écarts (ou fermes) :
La Barre a appartenu à la famille Montcalm de Saint-Maurice-Navacelles.
La Baume-Auriol, ferme caussenarde signalée dès le XIIIème siècle sous le nom de Balma Auriol. Certains bâtiments actuels remontent au XVIIIème siècle, d’autres s’y sont ajoutées au XIXème siècle.
Le Castelet, belle bâtisse caussenarde du XVIIème siècle.
Le Domaine de la Prunarède, ancien château, cette belle ferme caussenarde est située entre le village et le cirque de Navacelles, sur ces terres vouées au pastoralisme on trouve quatre dolmens, un menhir, deux fours à chaux et le patrimoine naturel y est aussi extrêmement riche.
Le Ranquas, à 660 m d’altitude, au pied de la Séranne, la ferme est devenu aujourd’hui un lieu d’accueil table et gîte paysan.
Le Ranquet et La Cisternette,  fermes caussenardes ayant également appartenue à la famille Montcalm.
Le Mas de Rigal, ferme du XVIIème siècle.
Les Coucelles, La Verrerie, Le Viala.

Nos ancêtres de Saint-Maurice-Navacelles…

Naissances/baptêmes :
AGUILHON Pierre (sosa 1544G11) vers 1655.
AGUILHON Pierre (sosa 772G10) le 31 mai 1694, il est baptisé le 4 juin 1694.
AGUILHON Pierre (sosa 386G9) le 24 février 1726.
AGUILHON Catherine (sosa 193G8) le 18 février 1765, elle est baptisée le lendemain.
BOURRIE Louis (sosa 192G8) à une date inconnue, vers 1750.
COULET Jean (sosa 6204G13) vers 1590.
COULET Anthoine (sosa 3102G12) à une date inconnue, vers 1630, au hameau Les Besses.
COULET Marie (sosa 1551G11) le 3 avril 1672 au hameau Les Besses.
PERRIER Michel (sosa 6206G13) vers 1615 au Mas des Perrier.
PONS Marie (sosa 775G10) le 23 février 1702.
VALES Pierre (sosa 3096G12) vers 1630 au Mas des Perrier.
VALES Louis (sosa 1548G11) le 7 juin 1649.
VALES Fulcrand (sosa 774G10) le 13 mai 1699.

Unions :
AGUILHON Pierre (sosa 772G10) le 28 novembre 1719 avec CAMPLO Marie (sosa 773G10).
AGUILHON Pierre (sosa 386G9) le 20 juin 1753 avec VALES Suzanne (sosa 387G9). Sa signature ci-dessous en 1753.
BOURRIE Louis (sosa 192G8) le 13 mai 1783 avec AGUILHON Catherine (sosa 193G8). Sa signature ci-dessous en 1783.
COULET Anthoine (sosa 3102G12) le 3 novembre 1667 avec PERRIER Marguerite (sosa 3103G12).
PONS Etienne (sosa 1550G11) le 11 novembre 1698 avec COULET Marie (sosa 1551G11).
VALES Fulcrand (sosa  774G10) le 7 novembre 1719 avec PONS Marie (sosa 775G10).
VALES Pierre (sosa 3096G12) le 28 novembre 1645 avec AUSSEL Suzanne (sosa 3097G12).

Aguilhon pierre 1753       Bourrie louis 1784

Décès/inhumations :
AGUILHON Pierre (sosa  772G10) veuf de CAMPLO Marie (sosa 773G10) le 6 décembre 1775. Il était berger.
AGUILHON Pierre (sosa 386G9) époux de VALES Suzanne (sosa 387G9) le 13 février 1811. Il était aubergiste, propriétaire.
AUSSINELLE Jeanne (sosa 6207G13) épouse de PERRIER Michel (sosa 6206G13) le 23 mai 1659 à l’âge de 39 ans.
BOURRIE François (sosa 384G9), époux de GROS Marie (sosa 385G9), le 26 septembre 1790. Sa signature ci-dessous en 1783.
CAMPLO Marie (sosa 773G10) épouse d’AGUILHON Pierre (sosa 772G10) le 28 octobre 1752.
CAUSSE Marie (sosa 1549G11) épouse de VALES Louis (sosa 1548G11) le 8 janvier 1711.
COULET Jean (sosa 6204G13) époux de VALES Peronne (sosa 6205G13) le 16 janvier 1651 au hameau Les Besses.
PERRIER Marguerite (sosa 3103G12) épouse COULET Anthoine (sosa 3102G12) le 15 juin 1672.
PERRIER Michel (sosa 6206G13) veuf d’AUSSINELLE Jeanne (sosa 6207G13) le 27 mai 1681.
PONS Marie (sosa 775G10) épouse de VALES Fulcrand (sosa 774G10) le 28 septembre 1763.
SERIEYS Catherine (sosa 1545G11) épouse d’AGUILHON Pierre (sosa 1544G11) le 19 janvier 1743.
VALES Fulcrand (sosa 774G10) veuf de PONS Marie (sosa 775G10) le 1 juin 1709.
VALES Louis (sosa 1548G11) veuf de CAUSSE Marie (sosa 1549G11) le 22 juin 1718.
VALES Pierre (sosa 3096G12) époux d’AUSSEL Suzanne (sosa 3097G12) le 23 septembre 1693.
VALES Suzanne (sosa 387G9) veuve d’AGUILHON Pierre (sosa 386G9) le 26 juillet 1814.

Domiciles :
AGUILHON Pierre (sosa 386G9) et son épouse VALES Suzanne (sosa 387G9) en 1783.
BOURRIE François (sosa 384G8) et son épouse AGUILHON Catherine (sosa 385G9)  en 1783 à La Baume-Auriol.
VALES Pierre (sosa 3096G12) et son épouse AUSSEL Suzanne (sosa 3097G12) en 1693 au Mas des Perrier.

Bourrie francois 1783


 

 

Sources
Sites et photo :
WikipediaGeorgette MilhauSaint-Maurice-NavacellesPatrimoine de FranceMadièresChâteau ZenDolmens et menhirs du Midi Méditerranéen.

 

 

Date de dernière mise à jour : 29/04/2016