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PRESENTATION DU DEPARTEMENT

 

Logo loire atlantique svgLoire atlantique adm

Le département de la Loire-Atlantique de la région Pays de la Loire doit son nom à la Loire, important fleuve qui le traverse, et de l'océan Atlantique, qui borde sa côte, à l'Ouest, où l'embouchure de la Loire forme un estuaire.
Departement 44 in france 2016 svgLe département est créé en 1790 par démembrement de la Bretagne, sous le nom de Loire-Inférieure, et conserve cette appellation jusqu'en 1957.
Le territoire de Loire-Atlantique est proche de la Bretagne culturellement et historiquement depuis l'ancien régime. La question d'un éventuel rattachement à la région Bretagne fait l'objet d'un débat récurrent.
Il est limitrophe des départements du Morbihan, d'Ille-et-Vilaine, de Maine-et-Loire et de Vendée.

Blason fr loire atlantique svgBlason departement fr loire atlantique svgHéraldique
Reprenant les blasons de Paimbœuf, Ancenis, Châteaubriant, Saint-Nazaire et Nantes, les armes de la Loire-Atlantique se blasonnent ainsi : Écartelé, au premier d'azur au navire équipé d'or, soutenu d'une mer d'argent, au second de gueules à trois quintefeuilles d'hermine, au troisième de gueules semé de fleurs de lys d'or, au quatrième d'azur à la nef équipée et habillée d'argent voguant sur une mer du même mouvant de la pointe, la voile chargée d'une clef de sable posée de fasce, au chef d'argent chargé de cinq mouchetures d'hermine de sable et d'une clef d'or brochant en fasce sur les mouchetures, le panneton à sénestre vers la pointe, sur le tout de gueules au vaisseau équipé d'or, habillé d'hermine, voguant sur une mer de sinople mouvant de la pointe et ondée d'argent, au chef aussi d'hermine
Un autre blason, non officiel, est proposé par l'héraldiste Robert Louis. Il se blasonne ainsi : D'hermine à la fasce ondée d'azur.

Langues 
- Le Gallo, langue d'oïl, pratiquée en Haute-Bretagne, parlé dans la majeure partie de la Loire-Atlantique (80 % du Nord-Loire et la totalité du Sud-Loire à partir du XIIème siècle, bien que cette partie se distingue par son dialecte). En Loire-Atlantique, le Gallo n'est enseigné ni dans les écoles, ni dans l'enseignement secondaire, alors que quelques structures le proposent dans la région Bretagne.
- Le Breton, langue celtique d'Armorique, parlée dans le tiers Ouest du département. Son recul est progressif, les îlots de persistance les plus importants sont la presqu'île guérandaise et la Brière.  Dans la presqu'île de Guérande, la langue bretonne fut utilisée jusqu'au début du XXème siècle et la dernière locutrice native meurt à Batz-sur-Mer, au village de Kermoisan, en 1965. Il est probable que l'emploi du breton chez les paludiers et saulniers subsiste par la nécessité de vendre du sel dans le Morbihan et le Finistère.
Certains quartiers populaires de Nantes comme Chantenay sont également bretonnants jusqu’en 1920-1930.
- Un dialecte Gallo influencé par le dialecte Poitevin, est parlé dans la partie du département située au Sud de la Loire. On retrouve cette situation également dans les Mauges (Maine-et-Loire) où le parler angevin reçoit aussi une influence poitevine, laquelle se fait encore plus sentir en allant dans le Sud de cette région, au contact du Bas-Poitou.
- La langue française est, en 1835, la seule généralement usitée dans les villes  avec une prononciation traînante sur les finales. L'accent caractéristique des cantons est encore plus fortement marqué que celui des villes. Dans les environs de Guérande, les paysans parlent le français et le bas-breton. L'usage de ces deux langues leur est nécessaire pour la troque ou le commerce d'échanges qu'ils font avec les départements d'au-delà de la Vilaine.

Hydrographie
Le département est traversé par la Loire qui, à partir de Nantes, constitue un estuaire et se jette dans l'océan au niveau de Saint-Nazaire. La vallée de la Loire est ici appelée Basse-Loire.
L'Acheneau, un de ses affluents situé su Sud de l’estuaire, voit parfois son cours s'inverser lors de fortes marées. Le Nord du département est traversé d’Est en Ouest par les vallées de la Chère, du Don et de l’Erdre, de la Chézine, du Gesvres et au Sud par celle de la Sèvre nantaise.
Le département recèle de nombreux marais, comme la Brière au Nord de Saint-Nazaire, les marais salants de Guérande, les marais de Couëron en aval de Nantes, ceux de Goulaine au Sud-Est et le marais Breton au Sud-Ouest.
Il  possède également l'un des plus grands lacs de France, le lac de Grand-lieu. Sa très faible profondeur (moins de 2 m) combinée à une pente extrêmement faible rend sa superficie très variable.
Le littoral possède plus de 130 kms de côtes le long de l'océan : la Côte d’Amour au Nord de l’estuaire, et la Côte de Jade au Sud.

Histoire
Le territoire est occupé dès la Haute Antiquité par un peuple appelé les Namnètes dont la capitale est Contigwic qui s’éleve au confluent de l’Erdre et de la Loire, à la place qu’occupe aujourd’hui Nantes. Les Romains donnent à ce nom une tournure latine, Condivicnum. Les Namnètes forment une république, comme les autres parties de l’Armorique. Ils sont les alliés des Vénètes (Vannes) dans le combat naval livré contre Jules César.
Soumis aux Romains, et compris d’abord dans la Gaule chevelue, puis dans la Ire et dans la IIIème Lyonnaise, ils voient Nantes devenir un des chefs-lieux les plus importants de l’administration romaine.
Vers 275, Saint Clair vient prêcher l’Évangile dans cette contrée et en est le premier évêque. Deux jeunes patriciens, Donatien et Rogatien appelés les enfants nantais, qui se convertissent les premiers, subissent le martyre en 290 à Nantes.
Clovis iA la chute de l’empire, Clovis (466/511, portrait 1 de gauche, mon ancêtre sosa n° 494 610 801 762 400 en 49ème génération) conquiert le pays. Le système de partage qui divise ses États entre ses fils ayant atteint aussi la Bretagne, elle est divisée en quatre comtés, dont l’un est celui de Nantes, tributaire des rois Francs. Depuis lors, l’histoire du comté de Nantes présente la lutte continuelle des comtes de cette cité et des ducs de Bretagne, ceux-ci s’efforçant de ramener le comté dans leur dépendance, ceux-là de l’en affranchir ; les ducs de Bretagne finissent par l’emporter et résident à Nantes.
Les rois de France surviennent et englobent le tout dans le royaume de France. Le comté de Nantes fait partie de la Haute Bretagne, ainsi que la sirerie de Clisson, la baronnie de Retz…
Louis iv d outremer de franceAu Xème siècle, Les Normands pillent l'état breton et ruinent les villes (Vannes, Nantes). Alain II de Bretagne dit Barbe-Torte (900/952) est appelé et chasse les Normands définitivement. En 942 il s’allie à Louis IV dit d’Outremer (920/954, portrait 1 de droite, mon ancêtre sosa n° 30 188 646 564 en 35ème génération), roi de Francie Occidentale, rencontré lors de leur exil en Angleterre, et à Thibaud Ier de Blois dit le Tricheur (910/977), comte de Blois, de Tours et de Chartres. Il conclut la même année une étroite alliance avec Guillaume III de Poitiers dit Tête d'Étoupe (910/963), duc d’Aquitaine, qui lui permet d’obtenir au Sud de la Loire les pagi de Mauges, Tiffauges et Herbauges.
En 1341, la Guerre de Succession de Bretagne débute. La bataille d'Auray en 1364 en est la dernière bataille. Cette guerre régionale s'inscrit dans la rivalité franco-anglaise de la Guerre de Cent Ans opposant une armée anglo-bretonne aux ordres de Jean III de Montfort (1339/1399) à une force franco-bretonne soutenant le parti de Charles de Blois (1319/1364). Cette victoire met fin à la guerre par le Traité de Guérande en 1365. Le roi de France reconnaît Jean III de Montfort comme duc de Bretagne. A sa mort, son fils, Jean V de Bretagne dit Le Sage (1389/1442) devient le second Montfort duc de Bretagne.
Anne de bretagne 1477 1514En 1489, François II (1435/1488), duc de Bretagne et dernier représentant mâle des Montfort, meurt, sa fille,  Anne de Bretagne (1477/1514, portrait 2 de gauche) hérite du duché et devient reine de France en épousant en 1491 Charles VIII (1470/1498). A sa mort, elle épouse en 1499, Louis XII (1462/1515). Leur fille, Claude de France (1499/1524) épouse en 1514 Francois ierFrançois d’Angoulême (1494/1547, portrait 2 de droite) futur roi François Ier et lui donne l’administration du duché de Bretagne.
En 1598, l'Edit de Nantes est signé. Il fixe le statut légal du protestantisme en France. Le roi Henri IV amnistie les combattants huguenots, établit l'égalité juridique entre les deux confessions et donne la liberté de culte.
Durant l'été 1793, François Athanase Charette de la Contrie (1763/1796) né à Couffé  près d'Ancenis, militaire ayant joué un rôle essentiel durant la Guerre de Vendée, à la tête de l'Armée catholique et royale du Bas-Poitou et du Pays de Retz., affiche plusieurs victoires. Poursuivit par le général Lazare Hoche (1768/1797) il est fait prisonnier et fusillé à Nantes en 1796.
Jules verne 1Jules Verne (1828/1905, portrait 3 de gauche) est né à Nantes où il passe ses vingt premières années. Sa passion pour les voyages le pousse à fuguer à onze ans en embarquant sur un caboteur, son père le rattrape à Paimboeuf.
Marie caroline de bourbon sicilesEn 1832, Marie Caroline de Bourbon-Siciles (1798/1870, portrait 3 de droite), duchesse du Berry, tente de soulever le pays nantais contre l'autorité du roi Louis Philippe Ier (1773/1850), depuis la révolution de 1830. Elle se réfugie dans la maison de Mademoiselle Duguigny au 3 de la rue Haute-du-Château (actuelle rue Mathelin-Rodier) à Nantes située face au château des ducs de Bretagne, mais elle est trahie. Après s'être cachée toute une nuit avec ses partisans dans un réduit situé derrière une cheminée alors que la maison est cernée par la gendarmerie, elle doit sortir de l'âtre lorsque celui-ci est allumé. Elle est arrêtée et faite prisonnière à la citadelle de Blaye. Après quelques mois d'emprisonnement, elle est expulsée vers Palerme.
En 1941, Philippe Pétain (1856/1951) sépare la Loire-Atlantique de la Bretagne, balayant ainsi 1 200 ans d'histoire.
En 1941, le lieutenant-colonel allemand Karl Hotz (1877/1941) est abattu à Nantes par un commando de Résistants Communistes. En représailles, les autorités d'occupation fusillent 48 prisonniers pris comme otages à Châteaubriant, Nantes et Paris.
8 mai 1945, a lieu la signature de la reddition de la poche de Saint-Nazaire dans la maison de Francis Moisan, au lieu-dit Les Sables à Cordemais, le jour même de la capitulation de l'Allemagne.

Patrimoine /Tourisme
Les châteaux :
Le château-fort de Clisson (vidéo ci-dessous) est construit vers 1060 par les puissants seigneurs de Clisson, sur un promontoire granitique dominant la rive gauche de la Sèvre nantaise. Point stratégique et défensif situé au carrefour des Marches de Bretagne, de l'Anjou et du Poitou, protégeant la frontière du duché de Bretagne, il n’est à cette époque qu’un simple castrum constitué de clôtures de bois  ou clis (à l'origine du nom Clisson) qui fait  face aux bastions français de Tiffauges et Montaigu.
Par la suite et jusqu'au début du XIIIème siècle, le site semble avoir été défendu par une forteresse romane, massif donjon soutenu par des contreforts et entouré d'une enceinte. Les parties les plus anciennes du château actuel datent de cette époque.
Au début XIIIème siècle, Guillaume de Clisson (1175/1225) souhaitant optimiser la défense de l'édifice, fait construire une enceinte sous la forme de deux polygones irréguliers flanqués de tours cylindriques et isolés du plateau rocheux par un fossé peu profond. Une barbacane, défendant l'entrée du château, est ajoutée au Nord, au bout d'une courtine.
Jean ier le rouxEn 1230, le roi Louis IX dit Saint-Louis (1214/1270) y séjourne. Une tour, jouxtant le châtelet, porte son nom.
Le château est démoli vers 1240, sur ordre du duc Jean Ier de Bretagne dit le Roux (1217/1286, gravure de gauche), dans le cadre d'un conflit opposant Olivier II de Clisson, petit-fils de Guillaume, à ses deux demi-frères.
Au XIVème siècle, Olivier III de Clisson (1280/1320) incorpore un châtelet servant d'accès à la cour. Ce châtelet est, par la suite, modifié en un gros olivier de clisson tombedonjon quadrangulaire. Le château devient le cadre des vies mouvementées d'Olivier IV de Clisson (1300/1343), présumé coupable d'entente avec les Anglais, et décapité aux Halles de Paris, sur ordre du roi de France Philippe VI de Valois (1293/1350), son épouse, Jeanne de Belleville, se réfugie en Angleterre avec son fils, Olivier V (1336/1407, gisant à droite), qui retrouve ses possessions après son alliance avec les Français. Ce riche seigneur, devient connétable en 1380, mais ne réside que très peu à Clisson, dont le château est confié à un châtelain.
Après 1420, Marguerite de Clisson dite Margot (1372/1441), fille d'Olivier V et comtesse de Penthièvre, accusée de trahison envers le duc de Bretagne Jean V de Bretagne dit Le Sage (1389/1442) est dépossédée de ses biens. Le château devient propriété du duc de Bretagne et apanage en 1420 de Richard de Montfort (1395/1438).
Le château est l'une des résidences préférées du duc François II de Bretagne, fils du précédent, qui s'y remarie avec Marguerite de Foix en 1471. Le château est agrandi à l'Ouest par un nouvel enclos rectangulaire de près de 100m de long, armé de tours avec casemates pour l'artillerie. L'ancienne entrée est modifiée et la courtine est prolongée et complétée par une barbacane. Deux tours rondes sont construites à l'extrémité Ouest de l'extension. Dans la fosse Sud, un rempart, dit  fausse braie, est aménagé pour faciliter la sortie des défenseurs. Des bastions à orillons sont bâtis pour compléter la défense de la partie Sud ; ainsi, trois lignes de défense échelonnées en profondeur protègent la forteresse.
Philippe emmanuel de mercoeur detailDurant les Guerres de la Ligue, la Bretagne est catholique, tandis que le Poitou est tenu par les protestants, notamment à Montaigu. Le château de Clisson redevient une place-forte clé. Philippe Emmanuel de Lorraine (1558/1602, portrait de gauche), duc de Mercœur et de Penthièvre, gouverneur de Bretagne, partisan de la ligue, y fait installer des troupes en 1587, et en 1588.
Charles d'Avaugour (+1608), seigneur de Clisson depuis 1586, issue de François Ier d'Avaugour, fils illégitime de François II de Bretagne, défend son château devenu une cible prioritaire des calvinistes. Henri de Navarre, futur Henri IV (1553/1610), à la tête des huguenots de Montaigu, menace d'attaquer Clisson en 1588, mais y renonce craignant un long siège.
En 1589, Charles d'Avaugour se range du côté du roi Henri III (1551/1589), et reste fidèle à la monarchie française lorsque Henri IV monte sur le trône peu de temps après.
En 1596, après la victoire d'Henri IV, des sommes sont prélevées sur les biens des ligueurs nantais pour permettre des travaux sur les fortifications de Clisson, étant donné l'importance stratégique du site.
Le châtelet s'écroule au milieu du XVIIème siècle.
Charles de rohan soubiseEn 1746, Henri François d'Avaugour (1685/1746) meurt sans descendance. Les possessions et titres des Avaugour passent à Charles de Rohan-Soubise (1715/1787, portrait de droite) qui se désintéresse du château et ordonne la vente du mobilier en 1748. La forteresse est ensuite abandonnée par ses propriétaires, et diverses familles occupent les appartements jusqu'en 1793.
Durant la Guerre de Vendée, l'armée de Mayence y établit son quartier général. En 1793, ils incendient le château et la ville avant de partir.
Le 8 février 1794, pendant les raids meurtriers des colonnes infernales, une trentaine de personnes cachées dans les ruines du château sont égorgées ou jetées vivantes dans un puits, ou fusillées sur l'esplanade Sud.
Frederic lemotAprès la Révolution, les habitations de la ville doivent être reconstruites, le château en ruine devient carrière de pierre.
Le sculpteur François Frédéric Lemot (1771/1827, portrait de gauche) découvre Clisson. Il l’achète et entreprend la restauration des ruines en 1807. Son dessein est de créer un domaine à l'italienne, évoquant les paysages aux ruines antiques d'Italie. La restauration du château n'a donc pas de préoccupation archéologique. Il élimine les bâtiments de tuffeau du XVIIème siècle, entreprend la réfection de certaines toitures.
Les ruines attirent peintres et sculpteurs romantiques, tels Louis François Cassas ou Claude Thiénon, des écrivains tel Gustave Flaubert et le poète Évariste Boulay-Paty.
En 1962, le château est racheté à la famille Lemot par le Conseil Général de la Loire-Atlantique qui y mène d'importants travaux de restauration.
Il est classé au titre des Monuments Historiques en 1924. Les fortifications et terrains d'assiette en 2004.

La forteresse médiévale de Châteaubriant (photo ci-dessous) est fortement remaniée à la Renaissance, est établi entre 1030 et 1042, sur les Marches de Bretagne et, comme ceux de Vitré, Fougères, Ancenis et Clisson, est chargée de défendre la Bretagne face au royaume de France.
Le premier château est fondé  par Brient, sur ordre d’Alain III de Bretagne dit Rebrit (997/1040), comte de Rennes, afin d'assurer un avant-poste dans le Pays de la Mée. Brient fonde aussi le prieuré de Béré et fait construire l'église Saint-Jean.
Il est réaménagé plusieurs fois au cours du Moyen Âge, et la ville de Châteaubriant s'est développée autour, s'entourant elle-même de remparts au XIIIème siècle.
L'ensemble est élevé en baronnie au XIIème siècle, puis passe aux familles de Dinan et de Montfort-Laval.
Pendant la Guerre Folle (nom donné à une guerre qui oppose, entre 1485 et 1488, une coalition de seigneurs à Anne de France, régente) le château est pris par les Français après un siège. Le logis et le donjon, endommagés, sont restaurés.
Au XVIème siècle, le château prend son aspect définitif, avec la construction de nouveaux logis et d'une grande galerie Renaissance.
La baronnie de Châteaubriant revient à la Maison de Condé au XVIIème siècle.
Après la Révolution Française, le château, plusieurs fois vendu, accueille diverses administrations et est, aujourd’hui, la propriété du Conseil Général de la Loire-Atlantique.
Il est classé aux Monuments Historiques en 1840, déclassé en 1887, et reclassé en 1921.
Il fait par ailleurs partie d'une liste préparatoire visant à faire inscrire les Marches de Bretagne au Patrimoine Mondial de l'UNESCO.

Chateaubriant loire atlantique le chateau

Et encore … le château des ducs de Bretagne à Nantes construit à partir de 1207 par Guy de Thouars et résidence principale de François II de Bretagne puis de sa fille Anne de Bretagne au XVème siècle ; le château de la Courosserie à Héric, du XIVème siècle, remanié aux XVIème et XIXème siècles, il est initialement entouré de douves et possède sa chapelle, sa fuie et son moulin dit du Lintin ; le château d’Ancenis bâti en 984 sur les bords de la Loire ; la forteresse médiévale de Blain construite au XIIIème siècle et fortement remaniée au XVIème siècle ;  le manoir de Bréhet à La Turballe, maison noble du XVIIème siècle ; le manoir fortifié de Careil à Guérande construit à la fin du XIVème siècle et agrandi aux XVème et XVIème siècles 

Les édifices religieux :
La basilique Saint-Donatien et Saint-Rogatien de Nantes, l’église abbatiale de Saint-Gildas-des-Bois, l’église Saint-Martin de Vertou, l’église Saint-Jacques de Touvois, l’église Saint-Martin de Savenay, l’église Saint-Médard de Saint-Mars-du-Désert, l’église Saint-Julien de Saint-Julien-de-Vouvantes, l’église Saint-Hermeland de Saint-Herblain …

Gastronomie
Sel de guerandeLe sel de Guérande, le sel de Millac aux Moutiers-en-Retz, la salicorne.
Le Curé Nantais célèbre fromage fabriqué à Pornic.
Les bières de la Côte de Jade, les vignobles du Muscadet, le Gros Plant du pays nantais, le Grolleau rosé ou gris.
Les Galettes St Michel fabriquées dans à Saint-Michel-Chef-Chef.
La Fraiseraie propose glaces, sorbets et confitures fabriqués à Pornic.
Et aussi poissons, fruits de mer, huitres et moules …

 

 

Dans ce département  1 ville a été témoin du décès

d’un lointain ancêtre du Xème siècle

 

 

Canton44

Le département et ses cantons (2015)

 

 

 


 


Sources
Sites et photo : Wikipedia,
La France pittoresque,
Visite en Pays de Loire
Vidéos : YouTube

Date de dernière mise à jour : 29/11/2017