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Rennes

Rennes adm

Rennes 35 geoRennes se situe en Haute-Bretagne  à la confluence de l’Ille et de la Vilaine, sur l'arc atlantique européen, à 55 Kms des côtes de la Manche.

 Héraldique 

150px blason rennes svg150px blason ville fr rennes empire svgLes armes de la commune se blasonnent ainsi : Palé d’argent et de sable de six pièces, au chef d’argent chargé de cinq mouchetures d’hermine de sable. 
Le nombre de pals et de mouchetures d’hermine a varié selon l’époque et la source.
La Croix de guerre est appendue à l’écu qui est timbré d’une couronne murale d’or.
Pendant le 1er Empire, Rennes devient une bonne ville et adopte en 1811 de nouvelles armoiries : D’hermine, au chef de gueules chargé de trois abeilles d’or qui est le signe des bonnes villes de l’Empire.  Elle conserve ces armoiries jusqu’à la Restauration en 1815.

Drapeau francais fond blanc  Histoire 

À l’époque Gallo-romaine, la cité fondée par les Riedones, peuple Celte du Nord-Ouest de la Gaule, porte le nom  de Condate-Riedonum.
Au IIIème siècle, l’Empire Romain est secoué par une crise et Rennes est pillée comme de nombreuses autres cités gallo-romaines : sa majeure partie est rasée et les matériaux sont récupérés pour l’édification d’un très solide rempart sur la colline du confluent.  Jusqu’au XVème siècle, l’enceinte est entretenue et modernisée à plusieurs reprises. Elle est également réparée après les nombreux sièges.
En 850, Nominoë (800/851), en guerre contre mon ancêtre le roi et empereur, Charles II dit le Chauve (823/877, portrait de droite) occupe Angers et ses alentours. Lambert II, comte de Nantes et préfet de la Marche de Bretagne, trahit une nouvelle fois son suzerain et s'allie avec Nominoë, tous deux s'emparent de Rennes et de Nantes dont ils détruisent les fortifications.
En 851, Erispoë (820/857), fils de Nominoë, inflige une défaite cuisante, à Charles II dit le Chauve lors de la bataille de Jengland. Ce dernier, par le Traité d'Angers, reconnaît Erispoë comme roi de Bretagne, fondant ainsi le royaume de Bretagne. Roi sous condition d'hommage, il est donc théoriquement vassal du roi de la Francie Occidentale.
Au XIème siècle, le comte Geoffroy Grenonat, en opposition avec les ducs, fait renforcer les défenses vers Saint-Georges. Vers 1230, Pierre Mauclerc, baillistre de Bretagne en butte avec le pouvoir royal français, dote la ville d’une seconde ligne de défense, les fossés Gahier. Son successeur, Jean Ier le Roux, fait réparer les portes et les tours, dont l’état s’est dégradé.

330px arthur iii de bretagneAu début du XVème siècle, la ville connaît une période de développement démographique en raison d’une forte immigration normande à la suite de l'occupation anglaise et, surtout, d’un important exode rural. Les faubourgs se développent hors des murs.
Les campagnes sont sillonnées par des bandes de routiers qui se livrent à des pillages : une bande de mercenaires écossais s’installe dans l’abbaye de Saint-Sulpice en 1426 et se livrent à des raids jusqu’aux portes de Rennes. Le duc Jean V, sur les conseils d’Arthur III de Bretagne dit le Connétable de Richemont (1393/1458, portrait de gauche), prend la décision de faire étendre les remparts. Deux enceintes successives sont ainsi construites, l’ouvrage est complété de boulevards destinés à protéger de l’artillerie à poudre en pleine évolution.
De 1422 à 1452, le duc Jean V dit le Sage (1389/1442) fait construire une enceinte à l’Est qui entoure la Ville Neuve, ses commerces et les congrégations religieuses.
Anne de bretagneDe 1449 à 1473, son fils, le duc François Ier (1414/1450)  fait étendre les murs de la ville au Sud de la Vilaine, où s’entasse une population modeste sur un ensemble de terrains malsains et inondables. Au cours de ce siècle, la ville s’embellit en se dotant en 1467 de son premier monument civil : la tour de l'Horloge.
Rennes est le refuge d'Anne de Bretagne (1477/1514, portrait de droite), héritière du duc François II de Bretagne, couronnée duchesse de Bretagne dans la cathédrale Saint-Pierre le 10 février 1489.
Au XVIème siècle, après le rattachement du duché de Bretagne au royaume de France en 1532 par l'Edit de Vannes, la ville devient le siège du Parlement de Bretagne en 1561, et donc capitale provinciale. Les fortifications, devenues inutiles, sont lentement démantelées. De nombreux hôtels particuliers sont édifiés pour les messieurs du Parlement.
Au cours du XVIIème siècle, la ville  reste enserrée dans ses remparts (voir carte dans diaporama) et les bâtiments sont pour l’essentiel construits en bois.
Au cours du XVIIIème siècle, la promenade du Mail, prolongeant la ville vers l’Ouest, est créée.
Dans la nuit du 23 décembre 1720, la ville s’embrase. Pendant six jours, l’incendie ravage le centre-ville : 945 bâtiments sont détruits. A partir de 1724, la reconstruction en pierre (granit, tuffeau et toits en ardoise) est engagée. La ville s’organise autour de deux places disposées en quinconce : la place Royale où trône le Parlement de Bretagne, servant d’écrin à une monumentale statue de Louis XIV,  et la place Neuve dominée par la mairie.Amiral villeneuve
En 1806, l'Amiral Pierre Charles Sylvestre de Villeneuve (1763/1806, portrait de droite) de retour de la Bataille de Trafalgar séjourne quelques jours au 21 rue Le Bastard. Il y trouve la mort, suicidé ou assassiné, le 22 avril.
De 1841 à 1861, la Vilaine est canalisée.
En 1857, le train arrive en gare de Rennes, de larges boulevards sont tracés pour rejoindre directement le centre-ville depuis la gare.
En 1899, la révision du procès d’Alfred Dreyfus (1859/1935) a lieu à Rennes dans l'actuel lycée Émile-Zola.
Au XIXème siècle, la ville s’affirme dans son rôle de capitale régionale.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, la ville est occupée à partir du 18 juin 1940 par l'armée allemande. Elle subit de nombreux bombardements dont celui du 8 mars 1943, lorsque l’aviation anglo-américaine pilonne la ville tuant près de 300 personnes. Le bilan des bombardements durant cette période s’élève à 655 victimes.
Rennes est libérée le 4 août 1944 par les troupes du général Patton.

Seigneurs et gens de noblesse

La succession des comtes de Rennes, depuis le comte carolingien, Rorgon du Maine (+839), est presque calquée sur celle des ducs de Bretagne.
Les comtes de Rennes deviennent ducs de Bretagne à partir de mon ancêtre, Conan Ier dit le Tort (944/992) qui règne de 970 à 992.
Le comté de Rennes disparait lorsqu’ il est intégré au duché de Bretagne sous Pierre Mauclerc, duc consort de 1213 à 1221.

 Patrimoine 

Labellisée Ville d'Art et d'Histoire, la ville a conservé un important patrimoine médiéval et classique au sein de son centre historique.
87 édifices ou parties d’édifice sont inscrits ou classés au titre des Monuments Historiques, notamment les façades des bâtiments de la vieille ville, qui fait l’objet d’un secteur sauvegardé.

Les remparts, les portes Mordelaises et la Tour Duschesne
Dès le XVème siècle, les parties rendues inutiles sont vendues et démolies pan par pan. Seul subsiste un morceau de rempart incluant les portes Mordelaises et la tour Duchesne, et un autre entre les places Saint-Michel et Rallier-du-Baty.
La Tour Duchesne est reconstruite au XVème siècle.
Les portes mordelaises ont perdu de leur superbe, en raison notamment de leur position enclavée dans le centre historique de la ville.
Depuis 2012, des  fouilles archéologiques sont en cours. Ces fouilles permettront d'entamer des travaux d'aménagement et de mise en valeur des deux tours. Un jardin dans les douves et un circuit sont notamment envisagés.

Les maisons à pans de bois dessinent les limites du vieux Rennes et de ses faubourgs. Rescapées de l'incendie de 1720, elles sont présentes dans les rues autour de la rue du Champ-Jacquet, et des places Sainte-Anne et des Lices.
La rue Saint-Georges conserve de nombreuses maisons du XVIIème siècle.
De nombreuses façades sont colorées ou sculptées tels les bustes polychromes en bois du XVIème siècle
Des travaux de restauration entrepris par la ville au début des années 1980 ont permis de retrouver l'aspect originel de bon nombre de façades.

La cathédrale Saint-Pierre, située au cœur de la ville, elle est le siège de l’archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo. De style classique, c’est l'une des neuf cathédrales historiques de Bretagne.
Le site actuel est utilisé en tant que siège d’un évêché depuis le VIème siècle. Il est probable qu’elle est construite à la place d’un sanctuaire plus ancien. L’ancien édifice est complètement remplacé par une église gothique au XIIème siècle. En 1490, la tour et la façade occidentale s’effondrent. Une interminable reconstruction du massif occidental qui dure 163 ans est entreprise et aboutit à la façade en granit actuelle en grande partie de style classique.
La cathédrale est épargnée par l’incendie de 1720 qui s’arrête à quelques dizaines de mètres.
Elle fait l'objet d'un classement au titre des Monuments Historiques en 1906.

La basilique Saint-Sauveur, connue sous le nom de Notre-Dame des Miracles et Vertus, est située au cœur du centre-ville historique.
Sa fondation est antérieure au XIIème siècle. Agrandie à plusieurs reprises et reconstruite au début du XVIIIème siècle, elle est le siège d'une paroisse pendant près de 300 ans, jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale, puis à nouveau à partir de 2002.
À la suite de plusieurs événements qualifiés de miraculeux aux XIVème et XVIIIème siècles, le culte de Notre Dame s’y développe fortement pour aboutir à une érection en basilique en 1916.

Le couvent des Jacobins, ou ancien couvent de Bonne-Nouvelle, est un ancien édifice religieux et une ancienne caserne, situé dans le centre-ville. Il comprend une abbatiale, un cloître et des bâtiments conventuels.
Des fouilles menées en 2012 et 2013 confirment l’importance du lieu à l'époque Gallo-romaine. Sous le couvent, est retrouvée la trace de l’intersection de la rue principale de Condate et d'une autre artère importante. À cette intersection est érigé un monument, qui devient, trois siècles plus tard, un temple. Des traces de bâtiments de trois époques différentes sont retrouvées, ainsi que des objets du quotidien. À la chute de l’Empire romain, Rennes s’enferme dans ses remparts, le lieu, hors des mures, est laissé à l'abandon au IVème siècle. Son renouveau débute au XIVème siècle quand l'ordre des dominicains décide d'y installer un couvent. Un bourgeois de Rennes, Pierre Rouxel, est à l'origine du couvent par un don en 1367 mais le fondateur est le duc Jean III de Montfort (1339/1399) qui en pose la première pierre.
Entre les XVème et XVIIIème siècles, le couvent est un important lieu d'inhumation. Les fouilles mettent au jour près d'un millier de sépultures, parmi lesquelles plusieurs tombes prestigieuses notamment des sarcophages de plomb abritant les dépouilles de nobles et de personnalités rennaises.
Dans ce lieu, en 1491 sont célébrées les fiançailles d'Anne de Bretagne et du roi Charles VIII dit l’Affable (1470/1498).
En 2018, l'édifice devient le centre des congrès de Rennes Métropole.
Il est inscrit au titre des Monuments Historiques en 1986 et classé en 1991.

La chapelle Saint-Yves dont l’histoire est intimement liée au développement de l'activité hospitalière au sein de la ville.
En 1358, le chanoine Eudon Le Bouteiller, prêtre du diocèse de Tréguier, fait transformer son manoir et ses dépendances en hospice dédié à la Vierge.
La chapelle, entreprise en 1494, à l'emplacement de l'ancien oratoire du manoir, constitue aujourd’hui l'unique témoignage d'un établissement hospitalier qui perdure jusqu'à son transfert en 1858 dans l'actuel Hôtel-Dieu.
Agrandi au cours des XVIIème et XVIIIème siècles, l'hôpital, situé au bord de la Vilaine, connaît la destruction progressive de ses bâtiments classiques, au gré de la canalisation du fleuve et de la construction d'immeubles modernes et d'hôtels particuliers le long du quai.
Transformée en quincaillerie après le déménagement de l'Hôtel-Dieu, la chapelle est classée au titre des Monuments Historiques en 1945 et rachetée par la ville en 1981 pour être restaurée, puis réaménagée afin d'abriter l'Office de Tourisme de Rennes Métropole.

L’abbaye  Notre-Dame-en-Saint-Melaine est dédiée à Saint Melaine, considéré comme le premier évêque de Rennes, mort au VIème siècle et enterré sur la colline du Champ du Repos, où est construite l’abbaye. L'église primitive est construite sur sa tombe.
Elle est incendiée et reconstruite deux fois, aux VIIème et Xème siècles.
La tour et le transept de sont du XIème  siècle. Elle possède des arcades gothiques du XIVème siècle et un clocher coiffé d’une Vierge dorée. Elle a gardé tous ses bâtiments annexes, son cloître et son jardin des moines : l’actuel parc du Thabor.
C’est un édifice composite de style roman et gothique, derrière une tour-clocher classique et néoclassique,  avec un plan en forme de croix latine.

De nombreux autres édifices religieux : les églises Saint-Étienne, Sainte-Thérèse, Saint-Hélier,  Saint-Germain, Sainte-Jeanne-d'Arc, des Sacrés-Cœurs, Toussaints... les chapelles  des Carmes, Saint-François... le couvent des Calvairiennes de Saint-Cyr…

Le Palais du Parlement de Bretagne est édifié entre 1618 et 1655. Il est longtemps l'un des rares bâtiments de pierres de la ville. Épargné par le grand incendie de 1720, il est en partie détruit par les flammes plus de 200 ans plus tard en 1994. La restauration dure 10 ans.

Le lycée Émile Zola est l'un des neuf premiers lycées français, créés en 1802. Il ouvre en 1803, succédant, sur le même site, au collège municipal et royal Saint-Thomas Becket et à l'école centrale d'Ille-et-Vilaine.
Deux événements le rendent célèbre : de 1881 à 1891, il est le creuset où s'élabore le Père Ubu, personnage imaginaire créé par l’écrivain  Alfred Jarry (1873/1907) ; en 1899, il abrite le second procès d'Alfred Dreyfus.
Il est désigné comme collège royal sous la Restauration et la Monarchie de Juillet ; puis lycée de garçons et lycée central ; et de 1961 à 1968, lycée François René de Chateaubriand. Il reste sans nom durant 3 ans, et devient en 1971 le lycée Émile Zola.

Le Palais du commerce est achevé en 1922, la piscine municipale-bains publics Saint-Georges et les halles centrales en 1926, le théâtre en 1936...

 Personnages nés dans la commune 

Paul fevalPaul Henri Corentin Féval (1816/1887, portrait de droite), écrivain, nait le 29 septembre 1816 dans l'Hôtel de Blossac à Rennes, hôtel particulier du XVIIIème siècle reconvertit en immeuble au XIXème siècle, où sa famille loge. Son père, royaliste chrétien originaire de Troyes, appartient à la petite magistrature, il est conseiller à la cour royale de la ville. Sa mère, Jeanne Joséphine Renée Le Baron, est bretonne de la région de Redon, et petite-fille du jurisconsulte Henri François Potier de La Germondaye. Paul passe une licence de droit à l’université de Rennes et devient avocat en 1836, mais il abandonne rapidement cette profession après une plaidoirie malheureuse. En 1837, il s'installe à Paris. Son premier texte est publié en 1841 dans la Revue de Paris, le Club des phoques. Son talent est remarqué par des éditeurs de journaux tels La Législature et le Courrier français. Le directeur de L’Époque, lui passe commande d'un texte de même inspiration et de facture similaire aux Mystères de Paris d'Eugène Sue, transposés en des Mystères de Londres. Il est publié en 1843 sous le pseudonyme de sir Francis Trolopp.
Le succès populaire est immédiat (20 rééditions), la renommée de l’auteur est faite.

Charles vanelCharles Marie Vanel (1892/1989, portrait de droite en 1934) acteur réalisateur, nait à Rennes le 21 août 1892, fils de commerçants installés à Paris lorsqu'il a 12 ans, Charles est renvoyé de tous les établissements scolaires qu'il fréquente et n'a pas une adolescence heureuse. Il joue dans de nombreux films muets entre 1910 et 1920, particulièrement dans des rôles de personnages bourrus et amers et mène une fructueuse carrière de comédien. Lors de l'avènement du cinéma parlant, sa voix phonogénique et les inflexions qu'il lui donne consolident sa popularité et il atteint la consécration. Il interprète notamment en 1953 Jo dans Le Salaire de la peur d'Henri Georges Clouzot, avec Yves Montand où il obtient le prix du meilleur acteur au Festival de Cannes.

De nombreux autres personnages sont nés à Rennes ou y ont vécus ...

 Hameaux, lieux dits et écarts 

En 1983, la commune est divisée en 12 quartiers administratifs : Le Centre  Thabor - Saint-Hélier - Alphonse Guérin ; Bourg-l'Évesque - la Touche - Moulin du Comte ; Nord - Saint-Martin ; Maurepas - Patton - Bellangerais ; Jeanne d’Arc - Longs-Champs - Atalante Beaulieu ; Quartier Francisco-Ferrer - Vern - Poterie ; Sud-Gare ; Cleunay - Arsenal-Redon ; Villejean - Beauregard ; Le Blosne ; Bréquigny.

et en 45 sous-quartiers : Saint-Laurent, Champeaux, La Prévalaye, Les Gayeulles, Sainte-Thérèse, La Courrouze, Lande du Breil…

 Evolution de la population 

Rennes demo

 Nos lointains ancêtres de la noblesse de Rennes ... 

Naissances/Baptêmes :
Sprota de RENNES (sosa 30 188 647 785++G35), fille du comte Juhel Bérenger de RENNES et de Gerberge, duchesse de Bretagne, vers 911.
(Voir « Visages d’Ille-et-Vilaine »).

Conan Ier de RENNES dit le Tort (sosa 15 094 323 894++G34), fils du comte Juhel Bérenger de RENNES et de Cunégonde de VERMANDOIS, vers 944.
(Voir « Visages de Loire-Atlantique »).

Union more danico :
Sprota de RENNES (sosa 30 188 647 785++G35), fille du comte Juhel Bérenger de RENNES et de Gerberge, duchesse de Bretagne, avec Guillaume Ier de NORMANDIE dit Longue Epée (sosa 30 188 647 784++G35), jarl des Normands de la Seine, vers 930.
(Voir « Visages d’Ille-et-Vilaine »)

 Carte Cassini 

 

Cassini rennes 35

 

 


 

Sources 
Sites et photo : Wikipedia...

Date de dernière mise à jour : 07/09/2019