Crux-la-Ville

Crux adm

Crux la ville 58 goLa commune se situe à 41 Kms de Nevers, en plein centre du département, et à 7 Kms de Saint-Saulge.
Le tourisme tend à s’y développer et la population passe du simple au double à la belle saison, notamment avec la base nautique de l'étang du Merle qui s'étend sur 18 ha et son camping.

 Toponymie 

L'origine du nom Crux serait gallo-romaine, du nom d'un homme qui y implante une villa à cette époque.
Crucium fondum devient Cruso-Villa et Cruso-Castro vers 1100.

 Hydrographie 

L'Aron prend sa source au Nord de Crux-la-Ville au-dessus de l’étang d’Aron à une altitude de 280m, à l’Ouest de la forêt de Troncay près du lieu-dit la Forgeotte. Il se jette dans la Loire en rive droite entre Decize et Saint-Léger-des-Vignes, après avoir rencontré la Vieille Loire, près de l’embouchure du canal du Nivernais. Il a une longueur de 105 Kms. Son affluent principal est l’Alène.
Le Beuvron prend sa source dans la forêt de Tronçay.  C'est un affluent de la rive gauche de l'Yonne.
Un grand nombre d'étangs (Aron, Saint-Thomas, Maupas de Chausselage...) se situent sur la commune.

Drapeau francais fond blanc  Histoire 

Des silex et un nucléus datant du Moustérien (voir lien « Echelle des Temps ») sont trouvés aux Faux et aux Maisons du Bois.
Deux vestiges de voie romaine se trouvent dans les bois de Crux, entre la commune de Moussy et le domaine des Perrières.
En 1161, Bernard de Saint-Saulge, évêque de Nevers de 1160 à 1177, reconnaît dans une lettre que les églises de Cruso-Villa et de Cruso Castro appartiennent à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, dont il est l'abbé.
Jusqu'en 1791, la Terre de Crux forme deux paroisses et une seule seigneurie : Crux-la-Ville et Crux-le-Châtel. Les familles de Crux puis de Damas-Crux en sont les seigneurs (voir § suivant).
Aux XVIIème et XVIIIème siècles, les châtelains font œuvre d'aménagement du territoire  en créant la Rigole de la Vaucreuse  pour alimenter Paris en bois de chauffage (voir § « Chroniques Communales »).
La vie quotidienne à Crux-le-Châtel, dans les années 1770, est évoqué à travers les carnets de Claude Fleury (1742/1801, voir § «Personnages liés à la commune»), homme de confiance du duc Louis Etienne de Damas-Crux, publiés dans les Mémoires de la Société Académique du Nivernais (voir Pdf en bas de page).
La commune est rebaptisée Aron-la-Montagne durant la Révolution Française.
À la fin du XIXème siècle, la Rigole d'Aron, destinée à alimenter le canal du Nivernais, est tracée.
La violente répression à Clamecy de la résistance contre le coup d'Etat de Napoléon III a des retentissements dans la population : 5 cruxois sont impliqués, condamnés et incarcérés.
La Première Guerre Mondiale fait 79 morts dans la commune.
Le site, riche en bois et forêts, est investis par les Résistants durant la Seconde Guerre Mondiale. Les maquis y sont nombreux.
Du 12 au 17 août 1944, une bataille au cours de laquelle 1500 Allemands appuyés par de l'artillerie et de l'aviation ne réussissent pas à réduire 800 maquisards encerclés. Aidés par les FFI du Morvan et les FTP du Val de Loire, ils décrochent après avoir fait subir des pertes sévères à l'armée allemande.
Tous les 15 Août, la bataille de Crux-la-Ville est commémorée par l'ensemble des maquis du département.

Seigneurs et gens de noblesse

Aux XIème et XIIème siècles,  les seigneurs de la ville sont mes ancêtres qui portent le nom de la ville (voir tableau en bas de page). Puis Hugues Ier de Crux (1138/1194), frère de mon ancêtre Isabelle de Crux, seigneur de Crux-la-Ville, épouse en 1165 Agnès de Seignelay et assure la descendance de père en fils.
Hugues II de Crux (1168/1214), seigneur de Crux-la-Ville, épouse en 1197 Camille de Saint-Saulge.
Guillaume Ier de Crux (1202/1277), seigneur de Crux-la-Ville, épouse en 1223 Marguerite de Châtillon-en-Bazois.
Hugues III de Crux (1226/1279), écuyer, seigneur de Crux-la-Ville, épouse en 1247 Blanche de Lormes.
Hugues IV de Crux (1248/1295), écuyer, seigneur de Crux-la-Ville, épouse en 1274 Isabelle de Corbigny.
Guillaume II de Crux (1276/1331), écuyer, seigneur de Crux-la-Ville, épouse en 1311 Clotilde de Saint Saulge.
Anne felicite simone de serent 1788Etienne charles damas de cruxErard Ier de Crux (1320/1387), écuyer, seigneur de Crux-la-Ville, Moussy et Franchy, épouse le 25 décembre 1346 Jeanne de Neublans de Vienne.
Puis la fille de ce dernier, Philiberte de Crux, née en 1347, fait entrer la seigneurie le 31 juillet 1362 dans la famille de Damas par son mariage avec Hugues de Damas, chevalier, vicomte de Chalon et seigneur de Marcilly.
Cette branche de Damas-Crux est érigée en comté au XVIIème siècle puis titrée duc-pair héréditaire, par lettres patentes en 1816. Elle s'éteint en 1846 avec le duc Étienne Charles de Damas-Crux (portrait de droite), né en 1754 au château de Crux, sans enfant de son épouse Anne Félicité Simone de Sérent (1772/1848, portrait de gauche) et décédé en 1846.

 Chroniques communales 

Tailles et corvées au XVème siècle
Les serfs de Crux refusent les tailles et les corvées que leur seigneur, Jean de Damas (1423/1481), exige d'eux :

  • ceux qui possèdent bœufs et chariot doivent transporter le bois de chauffage au château ainsi que les provisions nécessaires, le vin, le grain, et même des pierres pour les réparations des bâtiments, et cela autant de fois que nécessaire ;
  • ceux qui n'ont ni bœufs ni chariot apportent une charge de bois sur leurs épaules ;
  • les serfs doivent une corvée d'un jour pour faucher les prés du seigneur ;
  • ceux qui ne savent pas faucher sont employés à faner ;
  • ils doivent cultiver les vignes et y faire toutes les façons nécessaires ;
  • les habitants des Bordes doivent faire des haies dans la forêt et les entretenir pour permettre au seigneur de chasser plus commodément, ce qui les dispense d'autres corvées.

La taille est levée 2 fois par an par Jean de Damas, à la Saint-Barthélémy et au mois de février.
Le seigneur exige également à titre de champeage une poule, un chevreau, de ceux qui élèvent des chèvres, un oison de ceux qui ont des oies, quatre deniers pour un veau et un porcelet de ceux qui élèvent des porcs. Les habitants lui doivent encore les dîmes des veaux et pourceaux nourris au lait, soit un denier par veau mâle et une obole par femelle, plus un porcelet sur dix.
Ceux qui se marient dans l'année, lui  doivent un gâteau fait d'un demi-boisseau de froment et deux poules.
Enfin, ils sont astreints au service du guet, jour et nuit, aussi souvent que le seigneur le juge utile.

La rigole de la Vaucreuse
Environ un siècle après le début du flottage des bois sur la Cure et sur l'Yonne, Louis Etienne François de Damas-Crux (1735/1814) rend possible l’arrivée à Clamecy des bois coupé de ses forêts en pratiquant depuis l'étang d'Aron un petit canal qu'il fait creuser à flanc de coteau.
La Vaucreuse est utilisée de la façon suivante : quand elle est à sec, le bois est jeté dedans et lorsque la quantité est suffisante une crue est provoqué en lâchant l'eau des étangs qui l'alimentent. Le bois suit la Vaucreuse par la forêt de Tronçay jusqu'au hameau des Angles, les eaux rejoignent alors le Beuvron puis l'Yonne à Clamecy où se forment les trains de flottage. Le système est complété en 1780, par l’extension de la rigole de la Vaucreuse, en remontant jusqu’aux étangs de Fonds-Thomas et  Ligny.

Le chemin de fer
Le 20 Novembre 1904  la ligne de chemin de fer Nevers-Saulieu via Corbigny par le Tacot du Morvan  est ouverte. Elle dessert deux gares sur la commune, Les Ravées et Cloiseau.
Si le nombre de billets délivrés à Crux-la-Ville s'élève à 5 100 en 1930, il tombe à 2 600 puis 2 080 en 1933 et 1934, victime de la concurrence automobile.
En 1915, le train met 2h45 pour aller de Nevers à Crux, et 1h12 supplémentaire  pour atteindre Corbigny.
La fermeture totale de la ligne intervient le 15 mars 1939.

Les fêtes au XVIIIème siècle
Parmi les fêtes célébrées, celles de Carnaval et du Mercredi des Cendres sont chômées. Les réjouissances sont au programme, car elles succèdent à la longue période de restrictions du Carême.
Le
dimanche des Brandons (fin de l’hiver)  est  une date importante du calendrier.
Le jeu de quilles est, avec la chasse,  la distraction la plus courante.
Les invitations à dîner avec le repas qui se prend au début de l’après-midi et le souper assez tard dans la soirée. Les boissons sont le vin, celui de Bourgogne vient de Corbigny, mais aussi le muscat et la bière venant de Paris.

 Patrimoine 

Le château du Berle, de l’ancienne paroisse de Crux-le-Châtel, est reconstruit au XVIIIèlme siècle. Sa première pierre, datée de 1765, est encore visible. Les pierres servant à sa construction, sont extraites du site de l’Autrevelle.
Le domaine seigneurial comprend le château, dont il ne reste aujourd’hui que le pavillon Nord, le pavillon Sud et les bâtiments d’exploitation ; le presbytère à l’endroit dénommé La Cure ou Le Pavillon ; le cimetière autour du presbytère, et l’église accolée au pavillon Nord, dans laquelle sont enterrés, outre les seigneurs, certains serviteurs. Un four banal existe au Sud des dépendances, une carte postale ancienne (voir diaporama en début de page) du début du XXème siècle en témoigne.
Les châtelains ont sous leur tutelle plusieurs citoyens : dans les années 1760, un nègre de Guinée confié au curé par le comte, est baptisé et a comme marraine la comtesse Marie Louise de Menou.
Comme dans de nombreux châteaux,  pourvus d’une orangerie, des orangers poussent au château ainsi que des mûriers du ver à soie. Le comte envoie Claude Fleury dans les monts du Lyonnais pendant 3 mois, pour l’initier à cet élevage.
L’exploitation de la forêt ne se cantonne pas à la coupe du bois, elle s’accompagne d’une véritable sylviculture, avec entretien de pépinières d’espèces variées, le bois demeurant une matière première essentielle ; parmi les plantations : des ormes, des frênes, les blancs de Hollande (variété de tilleuls).
On pratique la pêche dans les étangs qui sont vidés tous les trois ans. La pêche est gardée dans les viviers du château. Le poisson, est aussi transporté par des bateaux appelés bascules  dont le fond est un vivier pour alimenter les grandes villes.  Les étangs sont empoissonnés de carpes forsières adultes mâles dits au lait  et de femelles dites aux œufs.
La chasse est également pratiquée pour le chevreuil mais aussi le loup, qui, à cette époque, s’attaque aux hommes.
Le corps de logis principal, situé entre les deux pavillons, est rasé à la Révolution.
Toutes les possessions des seigneurs à Crux sont vendues comme Bien National, sauf les bois que la Restauration rend au marquis de Byron, gendre du dernier comte, qui rachète ensuite à différents particuliers les 17 étangs de la commune, le moulin d’Aron et l’ancien presbytère.
La toiture de l’église commence à se dégrader après la guerre  de 1939-1945. Côté Est, elle présente cinq  baies bouchées par des briques en 1880. Un arbre pousse au milieu du pignon Nord et son portail, surmonté d’un oculus, est bouché par de la maçonnerie.                                                

L’église Saint-Nazaire avec sa nef du XVIème siècle, une abside, un transept et un chœur romans. 
Les murs de la nef offrent des contreforts saillants, comme sur les angles de la façade, et sont percés par de grandes fenêtres ogivales. Le clocher, au-dessus du transept, est carré avec un toit en bâtière couvert d’essaunes. L’intérieur comporte quatre travées séparées par des arcs doubleaux.
Sous le chœur, un caveau abrite la sépulture des comtes de Damas. Une plaque de marbre de 1763 dédiée à la mémoire de Louis Alexandre Damas est le seul vestige conservé en état.
Philippe de champaigneLa cloche en fonte est datée de 1712 et classée aux Monuments Historiques en 1913, son parrain est l’évêque de Nevers, Édouard Bargedé (1651/1719), et sa marraine la comtesse Marguerite Étiennette d’Achey (1681/1743) épouse d’Etienne de Damas.
Jugée trop exigüe, elle est démolie et remplacée par l’actuelle église consacrée le 10 octobre 1868.
A l’intérieur, la copie d’une toile intitulée l’Ange Gardien du peintre janséniste, Philippe de Champaigne (1602/1674, portrait de droite).
L’église est marquée par deux moments forts : le premier lorsque les habitants du village s’insurge contre l’abandon du cimetière pour un autre endroit et le second en 1905, lors de la séparation de l’Eglise et de l’État, où l’Abbé Cordier est chassé du presbytère et doit se faire héberger à Saint Saulge.

La chapelle Saint-Thomas est bâtie vers la fin du XVIème dans le bois allant de Saint-Saulge à Saint-Franchy, à l’emplacement où un chevalier de la maison de Damas-Crux est trouvé mort, blessé au cours d’une chasse.
Elle est édifiée par les soins et dépend de la Dame de Crux, mère du chevalier et d’abord dénommée la chapelle du chevalier ou  la chapelle saint Hubert (patron des chasseurs).
Puis un ermite s’installe, sous le toit d’esseaunes (tuiles en châtaignier), dans le prolongement de la chapelle qui sert de sacristie, dénuée du moindre confort.
La chapelle, dotée d’un desservant, est signalée comme la seule chapelle des environs de Saint-Saulge ayant des revenus.
Il semble qu’elle subisse le même sort, lors de la Révolution Française, que le château de Crux, car dans la seconde moitié du XIXème siècle, il est noté qu’il n’en reste rien.

Les croix, une douzaine au milieu du XIXème siècle, se dressent dans chacun des hameaux de la commune. Aujourd’hui 6 sont encore visibles :

  • La plus ancienne, située sur la place de l’église jusqu’à l’élévation en 1922 du monument aux morts de la Guerre 1914-1918, est déplacée à cette époque dans le milieu du cimetière ;
  • La croix en pierre de la place de la Résistance, autrefois place du champ de foire, est remplacée par une croix en fer érigée sur l’ancien socle ;
  • La croix des Parrots, figurant sur le cadastre napoléonien, a disparu à la fin du XIXème siècle, une nouvelle croix est érigée à son emplacement et bénie le 18 juin 2017 ;
  • La croix des Bordes, seule subsistante dans les hameaux, est remplacée en 1960, tombée en 2016, elle est refaite et bénie en juin 2017 ;
  • La croix Gerbault, située au-dessus de la Cure (ancien presbytère de Crux), est refaite et bénie au début des années 1980. Dans la niche de la croix, on trouve une petite statue de Notre Dame de Lourdes repeinte en blanc et en-dessous une plaque indiquant Croix Gerbault ;
  • La croix de Saint-Thomas, en bois sur un socle en pierre, marque l’emplacement de la chapelle (voir § précédent). Elle est réalisée par Henri Chassain, ancien propriétaire des Bois de Crux, une vierge est placée dans le pied de la croix.

Le Moulin de Landas, moulin à foulon, est daté du XVIIIème siècle. Il est alimenté par l’Aron.
La roue à aubes, munie de pales, est reconstruite en 1995.
Au XVIIIème siècle, la famille Geoffroy est propriétaire des lieux.

Le Moulin d’Aron est un important moulin, l’un des cinq de la Nièvre à être toujours en activité au début du XXIème siècle. Il date du XIXème siècle avec en amont, le vieux moulin qui est daté du XVIIème siècle. Le meunier y fabrique différentes sortes de farines et de la nourriture animale.

Le lavoir de la Grande-Fontaine construit en  larges pierres maçonnées au XVIIIème siècle, sa vasque ronde est un ancien abreuvoir. Il est en pierre de taille comme l’édifice qui protège la fontaine.
Les dix piliers du lavoir sont semblables à ceux d’une halle, reçoivent une charpente qui, selon des anciens du village serait celle de l’ancienne église de Crux-la-Ville, couverte de petites tuiles plates en terre cuite.
Un lavoir, bassin alimenté en eau naturelle, a pour vocation de permettre aux lavandières d’entretenir le linge avec un minimum de confort. Il est public et gratuit. À l’origine, le lavoir est une pierre plate ou une simple planche posée au bord d’un cours d’eau, d’une mare ou d’une source, sans abri. La pollution, les épidémies, l’hygiène entraînent le développement de constructions spécifiques a la fin du XVIIIème siècle. Il reste d’usage jusqu’à la moitié du XXème siècle, dans les villes et villages où  l’eau n’est pas polluée, mais leur utilisation est progressivement abandonnée au cours de ce siècle.
Le lavoir est restauré en 1980.

Le manoir du domaine des Perrières, propriété privée aujourd’hui reconverti en Table et Chambres d’Hôtes.
Haut lieu d'histoire de la Résistance où les maquis Daniel, Mariaux et Camille ont trouvé refuge dans les vastes forêts du massif de Saint-Saulge, de nombreuses stèles rappellent les batailles et l'héroïsme des maquisards.

Personnages liés à la commune

Joseph henry leveilleJoseph Henri Léveillé (1796/1870, portrait de droite), médecin et mycologue, fondateur de la classification mycologique moderne, est né le 28 mai n1796 à Crux-la-Ville.

Claude fleuryClaude Fleury (1742/1801, portrait de gauche), domestique élevé au château avec les enfants issus du mariage du comte Louis Alexandre de Damas-Crux et de son épouse Marie Louise de Menou. Il devient homme de confiance du comte Louis Etienne de Damas-Crux, jusqu’à l’émigration de celui-ci en 1792 car proche du futur Louis XVIII. Il est ensuite procureur de l’éphémère commune de Crux-le-Châtel et acquéreur des Biens Nationaux du domaine.
Il écrit des carnets (voir Pdf en bas de page) présentant la vie quotidienne à Cruz-la-Ville de 1768 à 1774.  Ce journal, d’avant la Révolution, brosse le tableau d’une époque florissante  et décrit un mode de vie très évolué sous le comte Louis Etienne, colonel d’infanterie souvent absent comme son frère cadet, l’abbé François de Damas, résidant tantôt à Nevers comme vicaire général, tantôt à Crux.     

 Hameaux, lieux dits et écarts 

De nombreux lieux-dits, pas moins d'une quarantaine, distants parfois de plusieurs kilomètres, dont : Aron, Challuée, Cloiseau, Marmantray, Le Berle, Les Ravées, Les Bordes, Le Landas, Les Perrières, Les Faux, Les Maisons du Bois, Forcy, Ligny, L’Huis-Gigot, Le Petit Ménetreuil, la Méloise, La Pallud, etc ...

 Evolution de la population 

Crux demo

 Nos lointains ancêtres de la noblesse de Crux-la-Ville ... 

7 naissances/baptêmes et  6 décès/inhumations y sont enregistrés :

Crux ancetres

 Carte de Cassini 

Crux cassini

 

 

 


 

Sources
Sites et photo : Wikipedia,
Nièvre Passion, Syndicat d’Initiatives, Mairie de Crux-la-Ville (Michel Geoffroy).

Lecture :
Les carnets de Claude Fleury
Les carnets de Claude Fleury
Les registres du Parlement, Bibliothèque de l'Ecole des Chartes 1959/ tome 117 p 89/184.

Date de dernière mise à jour : 18/11/2019