PRESENTATION DU DEPARTEMENT

Indre et loire 37 logo 2015 svgIndre et loire adm

Le département d’Indre-et-Loire de la région Centre-Val de Loire est situé à l'extrémité Sud du Bassin Parisien, limitrophe des départements de Indre et loire position svgLoir-et-Cher, de l'Indre, de la Vienne, de Maine-et-Loire et de la Sarthe.
Le point culminant du département se situe à 187 m d'altitude.

Blason departement fr indre et loire svg

 

Héraldique
D'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure componée d'argent et de gueules de vingt-deux pièces.

 

Hydrographie
Le département est traversé d'Est en Ouest par la Loire qui le sépare en deux parties avec au Nord la Gâtine et au Sud la Champeigne. Le Cher, l'Indre et la Vienne se jettent dans la Loire.
Les rivières les plus longues sont : l’Aigronne ; l’Amasse ; l’Authion ; la Brenne ; la Bresme ; le Cher ; le Choisille ;la Cisse ; la Claise ; la Creuse ; la Dême ; la Dêmée ; l’Escotais ; l’Esves ; la Fare ; la Gartempe ; la Gault ;l’ Indre ;l’ Indrois ; le Lathan ; le Luire ; le Mable ; le Madelon ; la Manse ; le Maulne ; le Muanne ; le Négron ; le Ramberge ; le Roumer ; le Suin ; la Tourmente ; le Vandœuvre ; la Veude ; la Vienne.

Histoire
Après la Guerre des Gaules, Tours (Caesarodunum) est une ville d'importance moyenne. Sa population est estimée entre 3000 et 5000 habitants au Ier siècle. La région est exclusivement rurale, vivant de l'agriculture, d'élevage et de la chasse. Caesarodunum tire un bénéfice non négligeable de la Loire, profitant du sel qui remonte de l'océan. Elle se trouve également au croisement de plusieurs voies romaines, lui assurant de petites retombées commerciales.
À la dislocation de l'Empire Romain, Tours, située dans le royaume gallo-romain, devient l'une des places majeures.
Au milieu du VIème siècle, le Nord du département est un fief de Childebert (497/558), et le Sud de Clotaire (498/561). La Touraine marque l'expansion maximale arabe au VIIIème siècle. La Bataille de Poitiers marque un coup d'arrêt dans l'expansion du territoire des Sarrasins.
Charles le chauveAu IXème siècle, la région passe dans la Neustrie de Charles II dit le Chauve (823/877, portrait ci-contre, mon ancêtre sosa n° 120 754 590 274 en 37ème génération), à la suite du Traité de Verdun. Le domaine royal s'étend des Flandres à la Navarre.
La Touraine forme ensuite le Comté de Tours, avant d'être définitivement rattaché au Domaine royal en 1259.
L'âge d'or de la Touraine commence vers 1450, sous l'impulsion de Louis XI dit le Prudent (1423/1483), dont la dynastie est originaire de Touraine. Il recentre le pouvoir sur Tours (plus précisément sur le château de Plessis-Lès-Tours à La Riche) et à Amboise, où il fait édifier un somptueux château. La population de Tours passe alors à 20 000 habitants, la ville est une capitale en matière d'orfèvrerie et de tannerie.
Dans les 75 ans qui suivent, de multiples châteaux sont édifiés dans les environs : Chenonceau, Chambord, Villandry, Ussé ... Léonard de Vinci (1452/1519) s'installe vers la fin de sa vie au Clos Lucé à Amboise, à quelques pas de François Ier (1494/1547) qui réside au château.
Le déclin commence à partir de la mort de ce dernier. La dynastie des Médicis délaisse la région, lui préférant Paris et Fontainebleau. Seul Armand Jean Du Plessis de Richelieu (1585/1642) fait construire son splendide palais (équivalent de Versailles) à côté de la ville qu'il fait bâtir dans le Sud du département et qui porte son nom.
Ce château est délaissé à la mort du cardinal en 1642 et démantelé à la Révolution française.
Les XVIIème et XVIIIème siècles sont ceux de la stagnation.
La vigne commence à être exploitée sur les côteaux de la Loire.
La renaissance du département démarre à la fin du règne de Louis XV dit Le Bien Aimé (1710/1774), qui décide de l'aménagement de grandes routes au départ de Paris. L'une d'elle, la route de Paris à Hendaye, et donc à l'Espagne, passe par Tours. Le percement de cet axe lance une réorganisation profonde de la ville, avec la construction d'une entrée monumentale et d'un grand pont en pierre de taille.
La Révolution française fait assez peu de victimes, mais ampute le département d'une grande partie de son patrimoine. De nombreux châteaux appartenant à des nobles sont rachetés pour être démantelés pierre par pierre, les églises sont pillées et saccagées.
Le département est créé le 4 mars 1790 à partir de l'ancienne Province de Touraine et de toute la partie orientale de l'ancienne province d'Anjou.
Au cours des premières années de la Troisième République, la Touraine, terre conservatrice modérée, rarement en proie aux passions politiques,  demeure royaliste.
Après la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo (18 juin 1815), le département est occupé par les troupes prussiennes de juin 1815 à novembre 1818.
Durant l'occupation allemande, pendant la Seconde Guerre Mondiale 1939-1945, le département est coupé en deux par la ligne de démarcation.

Patrimoine/Tourisme
Après la ville de Paris, le Conseil départemental d’Indre-et-Loire est le deuxième propriétaire en nombre de sites historiques.

Les châteaux et cités royales :
La Forteresse royale de Chinon
(vidéo ci-dessous), classée au Patrimoine Mondial par l’UNESCO, a été la résidence privilégiée du roi d’Angleterre Henri II Plantagenêt (1133/1189) au XIIème siècle. Au cœur de la Guerre de Cent Ans, le Dauphin Charles (1403/1461)  y a reçu la visite de Jeanne d’Arc en 1429.


La cité royale de Loches (photo ci-dessous) domine la ville et comprend le château-fort et son donjon ; au Nord,  le logis royal construit sur un promontoire rocheux surplombant l’Indre ; à l'Ouest, la porte royale, unique entrée de la cité fortifiée, datant du XIIIème  et remaniée au XVème siècle avec notamment l'ajout d'une terrasse à canon ; la collégiale Saint-Ours.
La première trace d'un château sur l'emplacement actuel est signalée par l’abbé Ursus de Cahors (Saint-Ours) en 491, qui évoque un castrum, vraisemblablement un camp fortifié comportant un donjon en bois. Il fait construire un moulin prés du château et y vit jusqu'à sa mort en 508.
Pepin le brefEn 742, la place est prise par les forces de Pépin III dit Le Bref (714/768, portrait 1 de gauche, mon ancêtre sosa n° 966 036 689 968 en 40ème génération) et son frère, Carloman (705/754, mon ancêtre sosa n° 1 932 073 379 962 en 41ème génération), qui répriment la révolte de Hunald Ier (705/774), duc d'Aquitaine. Le château est alors complètement rasé.
Louis ii le begue 843 879Lorsque Louis II dit  le Bègue (846/879, portrait 1 de droite, mon ancêtre sosa n° 120 754 586 256 en 37ème génération), fils de Charles II dit  le Chauve, fait de Tours une Préfecture Royale et en nomme préfet, Ingelger d’Anjou (855/893, mon ancêtre sosa n° 966 036 601 824 en 40ème génération). En reconnaissance de ses services, il lui donne une partie du comté d'Anjou et lui fait épouser vers 870, la fille du comte de Gatinais, Adèle de Buzançais (850/890, mon ancêtre sosa n° 966 036 601 825 en 40ème génération). Leur fils Foulques Ier d’Anjou dit le Roux (878/942, mon ancêtre sosa n° 483 018 300 912 en 39ème génération)  épouse en 905 Roscille de Loches (887/938, mon ancêtre sosa n° 483 018 300 913 en 39ème génération) qui lui apporte la forteresse de Loches. C'est ainsi que naît la puissante famille des comtes d'Anjou.
Entre 1013 et 1035, le donjon de pierre est réalisé par Foulques dit Le Noir ou Nerra (970/1040, mon ancêtre sosa n° 60 377 287 614 en 36ème génération), 4ème comte d'Anjou, il est composé d’une tour maîtresse et d’un petit donjon.
Au XIIème siècle, Henri II Plantagenêt (1133/1189) roi d’Angleterre et comte d’Anjou et du Maine, fait ériger les remparts et les douves qui entourent la ville haute.
Jean sans terre 1Philippe augusteDonné en 1193 à Philippe II dit Auguste (1165/1223, portrait 2 de gauche) par Jean dit Sans Terre (1166/12146, portrait 2 de droite) roi d’Angleterre, Il est repris par Richard Ier d’Angleterre dit Richard Cœur de Lion (1157/1199)  l'année suivante.
La partie Sud des remparts et ses trois tours en amande est construite par ce dernier et son père Henri II.
Le donjon est repris aux Anglais par Philippe Auguste en 1205. À cette date, Loches intègre le domaine royal et le château ne connait plus d'affrontement militaire majeur.
En 1307, certains templiers, dans l’attente de leur procès, comme Hugues de Pairaud, sont emprisonnés dans le château avant d’être transférés à Paris.
Louis xi le prudent 1423 1483Il est utilisé comme prison à partir du XVème siècle  par Louis XI dit Le Prudent (1423/1483, portrait 3 de gauche) et ce jusqu'en 1926. La tour ronde ou tour Louis XI comporte trois étages reliés par un escalier à vis, les salles des étages servent de cellules, et comportent de nombreux graffitis et sculptures réalisés par des prisonniers dans la pierre calcaire. Au rez-de-chaussée se trouve la salle de la torture  qui contient une barre de fer équipée d'anneaux servant à entraver des détenus.
La tour du Martelet est construite au XVème siècle, elle a la particularité de ne pas être en hauteur, il faut descendre 4 niveaux dans lesquels des cachots sont aménagés. Le plus célèbre d'entre eux est le cachot du Duc de Milan, Ludovic Marie Sforza dit Le More (1452/1508), ancien protecteur de Léonard de Vinci emprisonné durant 4 ans au donjon. Il y trouve la mort en 1508. Cette cellule laisse encore transparaître l'aspect artistique du personnage avec les fresques dont il a recouvert une partie des murs de sa cellule.
En 1539, une casemate, la caponnière, située à l’Est du donjon, est construite pendant les Guerres de Religion pour défendre les fossés.
Durant la Révolution Française, le château est pillé et sévèrement endommagé. Des restaurations majeures commencent en 1806 mais encore aujourd'hui certaines parties sont encore en ruines.
Le château est classé au titre des Monuments Historiques en 1862 ; la porte de l'enceinte en 1886 ; l'ancien logis royal en 1889 ; la partie d'enceinte Nord-Ouest est inscrite en 1962.  

Loches indre et loire le chateau 1

Le château de Langeais (photo ci-dessous) est situé sur un promontoire rocheux surplombant, en rive droite, le Val de Loire.
Foulques dit le noir d anjou 60 377 287 614 g36Richard coeur de lionUn premier château est bâti par Foulques dit Le Noir ou  Nerra (portrait 1 de droite), comte d'Anjou.
Sous la domination de la dynastie anglaise des Plantagenêt, le château est agrandi par Richard Ier d’Angleterre dit Richard Cœur de Lion (portrait 1 de gauche).
Philippe II dit Philippe Auguste le reconquiert en 1206, puis il est détruit par les Anglais lors de la Guerre de Cent Ans. Du bâtiment de cette époque subsiste une façade de la tour principale, appelée donjon de Foulques Nerra.
En 1465, Louis XI ordonne la reconstruction du château, en contrebas des vestiges de l'ancien édifice. Il est achevé en 1469.
En 1491, le 6 décembre à 7h du matin, a lieu le mariage royal de Charles VIII dit l’Affable (1470/1498, portrait 2 de gauche) avec Anne de Anne de bretagne 1477 1514Charles viii 1470 1498Bretagne (1477/1514, portrait 2 de droite). La jeune duchesse est âgée de 14 ans et son mariage signe la fin de l'indépendance du duché de Bretagne.
Jusqu'au règne de Louis XIII (1601/1643), le domaine de Langeais reste la propriété de la couronne de France. Il appartient ensuite à différentes familles : le duc de Luynes, puis Charles François Moisant en 1797
Il est laissé à l'abandon à la Révolution Française et au début du XIXème siècle.  
En 1838, Casimir Boisleve, maire, projette l’acquisition du château qui est en vente depuis le décès de Madame Moisant, dernière propriétaire. Des spéculateurs se sont déjà présentés pour l'acheter et le démolir afin d'en vendre les matériaux. La dépense est importante et, malgré les efforts de M. Boisleve, le château trouve preneur en la personne de M. Baron en 1839. Le fleuron de Langeais est en piteux état.
La municipalité, locataire partiel, transforme la grande salle du bas en écurie pour les chevaux des gendarmes. Une autre partie est affectée à l'auditoire de la justice de paix et à la prison cantonale. Les voisins occupent, à leur guise, caves et communs. Le parc est divisé en une soixantaine de parcelles consacrées aux arbres fruitiers et à la vigne.
Trente ans plus tard, le fils Baron, lourdement endetté, vend l'importante collection paternelle. À sa mort en 1886, le château est acquis par le banquier et homme d'affaires mulhousien Jacques Siegfried qui pendant 20 ans le restaure et le remeuble avant de le donner à l'Institut de France en 1904 avec réserve d'usufruit pour ses héritiers.
Il est classé au titre des Monuments Historiques en 1922 ; la partie du parc du château autour des ruines jusqu'au pont en 1942.

Langeais indre et loire le chateau 1


Ou encore ...  Le château de Gizeux, composé d’un logis central édifié aux XVIème et XVIIème siècles et d’une grande cour fermée sur deux faces par les communs et les écuries du XVIIIème siècle, une tour d’enceinte du XIVème subsiste, sa galerie abrite un décor exceptionnel de peintures datées de la fin du XVIIème siècle ; le domaine de Cande, un château à l’architecture composite qui invite à la flânerie au cœur d'un parc de 250 ha ; le château d’Azay-le-Rideau, construit par Gilles Berthelot, riche financier issu de la bourgeoisie tourangelle qui inaugure l’ère des demeures de plaisance alliant le charme du château à la française à la majesté des palais italiens ; le château d’Amboise qui conserve des constructions médiévales, mais dont l’essentiel des bâtiments subsistants datent de la Renaissance, et sa chapelle Saint Hubert ; le château de Montpoupon, le château de la Guerche, le château de Reignac, le château de Montrésor, le château d’Ussé, le château du Rivau, le château de Valmer, le château de Villandry

Les édifices religieux :
L'église Saint-Ours
de Loches (photo ci-dessous). Son architecture est marquée par deux étranges pyramides creuses à huit faces, les dubes, élevées vers 1165, ainsi que par son portail polychrome sculpté de personnages et d’animaux tirés du bestiaire du Moyen Âge.
D'après Grégoire de Tours (538/594), une première église est construite au Vème siècle par saint Eustache, évêque de Tours (+461).
Geoffroy Ier d’Anjou dit Grisegonelle  (938/987, mon ancêtre sosa n° 120 754 575 228 en 37ème génération), comte d'Anjou, fonde la collégiale entre 963 et 985 pour servir d'écrin à la relique d'une moitié de la ceinture de la Vierge apportée de Constantinople au Xème siècle.
Agnes sorel 1Exposée à la vénération populaire 3 fois par an (l3 mai, 15 août et 8 septembre), la relique se voit offrir par Agnès Sorel (1422/1450, photo de gauche), épouse du duc René 1er d’Anjou et favorite du roi Charles VII, un reliquaire en or et en agate qui disparaît à la Révolution.
La nef et le transept s'effondrent entre 1030 et 1050, Thomas de Loches dit Pactius, notaire et chapelain du comte d'Anjou, Foulques V d’Anjou dit le Jeune (1092/1143), prieur de la collégiale, la fait reconstruire au milieu du XIIème  siècle.
Elle est collégiale sous le vocable de Notre-Dame puis, après la Révolution Française, le chapitre étant dispersé, elle devient église paroissiale dédiée à saint Ours.
Elle prend sa forme actuelle à la fin du XVIIIème siècle et renferme, depuis 2005, le tombeau de marbre d'Agnès Sorel.
Selon Viollet-le-Duc, la collégiale est « un édifice d'une étrange et sauvage beauté, unique au monde ».
Elle est classée au titre des Monuments Historiques en 1840.

Loches indre et loire la collegiale saint ours

Le prieuré Saint-Cosme à La Riche (photo ci-dessous).
Au XIème siècle, sur une île de la Loire occupée par une pêcherie, le trésorier de l'abbaye de Saint-Martin de Tours, Hervé de Buzançais, édifie un premier monastère autour d'une petite église.
En 1092, le prieuré est fondé avec la construction d'une nouvelle église aux dimensions plus grandes et d'un nouveau cloître. Il accueille une communauté de chanoines réguliers de Saint-Augustin.
Aux XIIIème et XIVème siècles, à l'apogée du monastère, sont construits un avant-porche à l'église (narthex), un logis pour le prieur, l'hôtellerie et l'infirmerie sont agrandies.
Pierre de ronsardAu XVème siècle, en proie aux inondations, les sols sont remontés de près d'un mètre. Le transept et la nef de l'église sont reconstruits dans le style gothique.
Suite aux destructions des Huguenots, le poète Pierre de Ronsard (1524/1585, portrait ci-contre), prieur commendataire de 1565 à 1585, fait fortifier le prieuré. Le logis du prieur est restauré et un logis du sous-prieur voit le jour avec les prieurs successeurs du poète.
L'activité religieuse cesse en 1742. Les chanoines démontent la plupart des bâtiments monastiques encore debout, coupent et vendent les bois. Le prieuré devient une résidence de campagne pour l'archevêque de Tours, Rosset de Fleury, puis pour l'Intendant Du Cluzel. Puis, il est vendu comme Bien National à la Révolution Française.
Les bombardements alliés de 1944 causent des dommages irréversibles aux bâtiments, seul le réfectoire est réhabilité.
Vers 1920, l'association de la Sauvegarde de l'Art français  intervient rachète les parcelles de l'église. Les restes de Ronsard sont découverts en 1933 et réinhumés. Un premier musée dédié au poète est fondé dans son logis.
En 1951, le Département devient propriétaire.
Une grande campagne de fouilles archéologiques menée en 2009 et 2010 permet la découverte de nouveaux vestiges et de nombreuses sépultures.
Il est inscrit aux Monuments Historiques.

La riche indre et loire le prieure saint cosme

Ou encore... la collégiale Saint-Georges de Faye-la-Vineuse, l'église de Richelieu ou celle de Preuilly-sur-Claize ...

Les Musées :
Le Musée de la Préhistoire du Grand-Pressigny,
un des plus anciens musées consacrés à la Préhistoire en Europe.
Le Musée Rabelais, dans la maison natale de l’écrivain La Devinière.
Le Musée Balzac dans le château de Saché, lieu de séjours réguliers d’Honoré de Balzac en Touraine. Son architecture Renaissance porte les marques discrètes de son édification médiévale et de remaniements successifs.
L’Hôtel Goüin, ancien hôtel particulier de la première Renaissance française.

Un parc naturel régional, en partie sur le département :
le Parc Naturel Régional Loire-Anjou-Touraine situé entre Angers (Maine-et-Loire) et Tours.

 

2 ancêtres de la noblesse

sont inhumés dans 2 villes ou villages de ce département

aux Xème et XIème siècles

 

Cantons 2014

Le département et ses cantons (2016)

 


 

Sources
Sites et photo : Wikipedia, Notre belle France.
Vidéo : YouTube, Loirechateaux.

Date de dernière mise à jour : 17/11/2017